La rétrocompatibilité risque de coûter cher à Microsoft
Ca se paye les infidélités, et ça Microsoft l'a bien compris depuis qu’il est passé du camp nVidia à celui d'ATI. En effet, en choisissant l’autre grand constructeur de chip graphique pour sa Xbox 360, le géant américain s’est heurté à un problème difficile à assumer financièrement, celui de la rétrocompatibilité !
Pour chaque console vendue, Billou devra donc payer des royalties à nVidia afin que ce dernier accepte d’émuler les jeux Xbox sur Xbox 360. Une somme qui devrait peser lourd après quelques millions de consoles écoulées… D’autre part, il semblerait que les jeux disponibles sur DVD double couche nécessitent carrément l’installation d’un patch sur le disque dur de la bécane, installé d'emblée sur la console ou téléchargeable par la suite...